3 avril 2020

Tu m’étonnes !

Dynamiser mon CA et rentabilité à mes activités

L’expression « Avoir la tête dans le guidon » vous parle ?

Vous avez l’impression de ne gérer que les urgences quotidiennes au détriment de votre vision de l’avenir ?

Le climat se dégrade dans vos équipes ? Vous avez conscience que certaines tâches ne sont pas effectuées correctement, des choses qui vous agacent mais que vous ne classez pas dans vos priorités ?

Certains de vos clients commencent à exprimer quelques insatisfactions ?

Si vous avez répondu « oui » à au moins une de ces questions, vous avez peut-être besoin d’un regard extérieur sur votre entreprise…

Et encore, ce n’est que la partie visible de l’iceberg ! Comme dans toute organisation, les petites négligences et les mauvaises habitudes s’installent au fil des années, et c’est en cela qu’elles sont insidieuses : en interne, plus personne ne les remarque car elles font partie du paysage. Ou alors on les remarque mais on se dit qu’on a toujours fait comme ça… Et tout le monde est tellement débordé !

C’est sans parler des mauvaises pratiques que l’on a instituées en toute bonne foi, sans savoir qu’elles n’étaient pas adaptées : on ne peut pas tout savoir, et il est normal de faire des erreurs, même lorsqu’on est diplômé et bien informé.

 

Faire preuve d’humilité

Ce qui est moins normal, c’est de fermer les yeux en se disant qu’après tout, l’urgence quotidienne est prioritaire : « Il faut faire bouillir la marmite ! Qui d’autre gérerait l’entreprise si je m’occupais des détails ? » – et pendant ce temps, le nombre de clients mécontents s’accroît dangereusement.

Bien sur, il est difficile d’accepter le regard extérieur sur son bébé : votre société, c’est votre création. Personne d’autre ne la connait mieux que vous. Et c’est justement ce qui vous aveugle dans les moments difficiles.
Accepter le regard de l’autre, à condition qu’il ne vous juge pas et qu’il soit bienveillant, c’est vous laisser une chance de détecter ce que vous ne pouvez, ou ne voulez pas voir. C’est ainsi que fonctionne le rapport d’étonnement : en tant qu’intervenant neutre, le consultant passera quelques heures dans vos services et fera un tour complet de vos process, de vos habitudes, des particularités qui font l’identité de votre structure. Grâce à cette neutralité, il va pouvoir noter ce qui l’a étonné en bien, mais également en moins bien.

 

Un outil puissant de management

Dépourvu de cet affect qui parfois peut vous faire ignorer ou nier l’évidence sur cette structure qui vous est chère, le consultant vous fournira un compte-rendu exhaustif des points forts existants mais trop peu développés, ainsi que des axes d’améliorations qu’il serait bon de mettre en oeuvre pour rectifier ce qui ne va pas.
Grâce à ce compte-rendu, vous pourrez ainsi planifier des actions qui vous permettront d’aller dans le bon sens : autrement dit, vous aurez là un début de ce que l’on appelle une « vision stratégique d’entreprise ».

 

De la conscience à l’action

Souvent à l’origine de changements et même d’innovation, un rapport d’étonnement peut être une excellente entrée en matière pour envisager un management différent. En effet, partagé avec les collaborateurs, le rapport d’étonnement peut être un levier puissant d’intelligence collective. Il suscite invariablement des discussions, et permet de résoudre en douceur les problèmes d’organisation et de pratiques. À vous ensuite de surfer sur cette dynamique, en vous aidant peut-être des conseils que ne manquera pas de vous donner votre consultant sur quelques bonnes pratiques RH.

 

Cet article vous questionne ?

Tu m’étonnes !